Article Sud-Ouest du 30 oct 2018, Michèle Ganet
Bientôt un article détaillé sur la soirée à paraître sur notre blog.
Article Sud-Ouest du 30 oct 2018, Michèle Ganet
Bientôt un article détaillé sur la soirée à paraître sur notre blog.
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Dans le cadre des commémorations du centenaire de la première guerre mondiale, l’Association Pierre Favre, avec le soutien de la ville de Saint Jean d’Illac, organise un grand concert caritatif avec la participation de La Musique des Forces Aériennes de Bordeaux.
De tout temps, la musique est présente dans les armées. À l’origine, elle servait à entrainer les troupes au combat, à les faire marcher au pas ou encore à transmettre les ordres et les signaux.
À sa création, la Musique des Forces aériennes ne déroge pas à la règle. Sa raison d’être réside encore aujourd’hui dans sa contribution au cérémonial militaire. Une fonction
protocolaire qu’elle assure au niveau national, et en particulier sur les bases aériennes lors des cérémonies officielles qui jalonnent la vie des unités.
En plus d’être présente auprès des aviateurs, la Musique des forces aériennes participe au rayonnement de l’armée de l’air vers le monde civil, en France et à travers le monde. Elle témoigne notamment de l’exigence et de l’excellence propres à l’ensemble de l’institution. Ainsi, en tant qu’ambassadrice de prestige, elle est fréquemment invitée dans des salles de concert et festivals de renom.
Mobilisée au service du lien Armée-Nation, la Musique des Forces aériennes est par ailleurs partenaire de l’académie de Bordeaux pour laquelle elle réalise de nombreuses représentations.
Elle s’engage également au profit de plusieurs associations caritatives au moins une fois par an.
Tous les détails sur ce projet et cet appareil via ce lien
La Musique des Forces Aériennes de Bordeaux compte aujourd’hui une soixantaine de musiciens, tous lauréats de conservatoires nationaux et régionaux.
Répondant à de nombreuses sollicitations, ces virtuoses se produisent principalement en configuration d’orchestre d’harmonie, même s’ils sont parfois amenés à réaliser des prestations sous d’autres formats plus intimistes.
La Musique de la troisième région aérienne est créée en 1934 à Tours. Dissoute pendant la Seconde Guerre mondiale, elle est reconstituée à Bordeaux en 1945. Elle est aujourd’hui implantée sur la base aérienne 106 et répond désormais au nom de « Musique des Forces aériennes ».
POUR PLUS DE DETAILS SUR LA MISE EN SCENE, LA DIRECTION ET LE PROGRAMME DE CE SPECTACLE suivez ce lien.
ECOUTER L’EMISSION DE AUDE PENICAUT SUR RCF QUI PRESENTE LE CONCERT
IMPORTANT : Compte tenu des mesures de sécurité imposées pour cet évènement, nous vous encourageons à :
Nous souhaitons adresser un grand MERCI à nos partenaires pour leur participation.
Pour réserver vos places, vous pouvez tout simplement:
NB : accès à la salle est facile pour les personnes à mobilité réduite.
Le séquençage d’ADN et les tests biologiques réalisés sur les tumeurs permettent de trouver des traitements spécifiques à chaque patient. Une méthode qui allonge même la durée de vie des patients atteints de cancers difficiles à traiter.
Lire la position de spécialiste mondiaux sur le sujet dont le Professeur Antoine Italiano, oncologue de l’institut Bergonié à Bordeaux dans l’article de l’usine nouvelle.
Ambiance, Esthétisme et Minimalisme.
Exposition inédite réalisée avec le concours d’artistes photographes de sensibilités différentes.
Conférence sur le thème « Mon regard sur leurs yeux » pour découvrir les secrets des mascarons.
Cocktail avec ambiance musicale dans le cloître de l’espace Beaulieu en présence des artistes et de la conférencière.
Nous vous invitons à venir découvrir leur parti pris lors du vernissage qui se tiendra le 31 mai 2018 à partir de 18h30 à l’Espace Beaulieu, 145 Rue de Saint- Genès à Bordeaux.
Réservez dès à présent cette date et restez connectés pour connaitre les détails de cet évènement dont les bénéfices seront reversés à l’Institut Bergonié pour financer une salle d’accueil destinée aux familles des malades en soins palliatifs.
Le jeudi 14 décembre dernier, le club Soroptimist Bordeaux a remis plus de 20 coussins-cœur à l’association Pierre Favre.
Ces coussins sont destinés aux patientes de l’Institut Bergonié atteintes d’un cancer du sein.
Le premier club Soroptimist International (SI) a été créé en 1921, dans la ville d’Oakland en Californie. Les 80 femmes, toutes engagées dans la vie professionnelle, qui entouraient Violet Richardson, première Présidente du SI, se réunissaient chaque semaine pour débattre de projets de service, autour de conférences sur diverses questions touchant le monde entier afin d’élargir les horizons des membres.
Les valeurs et objectifs de ce club sont :
Lors de la remise des coussins, Madame Marie Laurence Berciaud, présidente du club Soroptimist de Bordeaux, a rappelé les valeurs du club et l’origine des coussins.
Après avoir lu un article dans Patchwork Gilde Deutschland, la présidente de France Patchwork, Rita découvre en feuilletant ce magazine allemand, des coussins pour apaiser les malades. C’était en 2009. « Il n’y en avait pas encore en France. C’était intéressant de réaliser cette opération », déclare Rita Kirchmann. La particularité des coussins repose sur son allure : un cœur en tissu.
« Ce n’est pas un simple cœur. Il est un peu plus creusé au centre. » Grâce à sa forme étudiée, la malade le dispose sous son aisselle afin d’éviter toute pression. Il soutient l’épaule.
Chantal Favre a mis en avant le travail des « petites mains » qui ont travaillé pour la réalisation de ces coussins et à la fidélité du Club Soroptimist de Bordeaux aux côtés de l’association Pierre Favre.
Les coussins seront remis avant les fêtes de Noël et permettront sans nul doute d’améliorer le confort et de « donner le sourire aux malades », devis de l’association.
Pour sa part, Gérald Carmona, directeur de la communication dons et legs à l’Institut Bergonié, a rappelé l’importance des toutes les actions visant à améliorer le confort et le moral des patientes.
Monsieur Carmona a chaleureusement remercié l’engagement constant du Club Soroptimist de Bordeaux et de l’association Pierre Favre pour une meilleure condition de la femme et des patientes.
Pour nous adresser une demande d’information ou un message, remplissez le formulaire ci-dessous:
L’analyseur Rarecells, mécanisme d’analyse sanguine qui détecte précocement les cellules cancéreuses circulant dans le sang, a été inauguré en juin 2107 à Bordeaux.
Il a été mis au point après quinze ans de travaux par Patrizia Paterlini-Bréchot, oncologue, professeur de biologie cellulaire, à Paris, et directrice d’une équipe de recherche.
La méthode ISET permet de prédire très en amont le risque de transformation métastatique et donne la possibilité aux médecins de faire un diagnostic avant même que la métastase soit détectée par imagerie.
« C’est un hybride entre la photocopieuse et la machine à café ! » explique Patrizia Paterlini-Bréchot. « Pour faire simple, la machine filtre le sang jusqu’à retenir en surface les cellules tumorales, que l’on pourra ensuite analyser. »
« Je suis très heureux que l’Institut se dote de cet outil novateur, remarque le professeur François-Xavier Mahon, directeur de Bergonié, parce que je suis hématologue et l’idée d’utiliser le sang pour attraper la tumeur me séduit.
Résumé écrit par patrick Watrin, chargé de communication pour l’Association Pierre Favre, d’après l’article Sud-Ouest écrit par Isabelle Castéra.
C’est un travail de longue haleine qui porte enfin ses fruits. Après dix ans de recherche et développement, la société Oncomedics, créée à Limoges en 2006, commercialise son test destiné à personnaliser la chimiothérapie dans le cadre du cancer colorectal à un stade avancé.
Baptisé « Oncogramme® », ce dispositif médical permet d’améliorer le traitement en testant, en dehors du corps, la réponse de la tumeur du patient à plusieurs molécules, afin de lui administrer celle qui sera la plus efficace.
« Actuellement, on fonctionne selon la thérapie du consensus, c’est-à-dire qu’on administre le médicament qui a fonctionné pour le plus grand nombre de malades, explique Christophe Lautrette, PDG d’Oncomedics. Or pour le cancer colorectal métastatique, ce traitement de première intention marchera pour seulement 46 % des personnes. Avec le test que nous avons mis au point, le produit de chimiothérapie ainsi sélectionné aurait un effet dans 84 % des cas. »
Un procédé qui, en plus d’offrir un gain de chance supplémentaire face au cancer, évite aussi des effets secondaires inutiles qui affaiblissent l’organisme.
« Après la chirurgie réalisée à l’hôpital, on récupère un prélèvement de la tumeur et on la cultive dans notre laboratoire pour la maintenir vivante, poursuit Christophe Lautrette. On teste ensuite in vitro différents médicaments, seuls ou combinés, sur l’échantillon et on évalue lequel tue le plus de cellules cancéreuses. »
Il faut environ quinze jours entre l’opération et le rendu du résultat à l’équipe soignante, qui pourra dès lors choisir la chimio la plus adaptée.
Ce dispositif, relevant de la médecine dite « de précision », est donc désormais lancé sur le marché. Mais d’un montant de 2.000 €, il n’est pas encore remboursé. Un frein à son utilisation qu’Oncomedics espère lever rapidement. « Les démarches sont en cours, mais les procédures sont longues car des données médico-économiques doivent nécessairement être collectées », précise Christophe Lautrette.
Si la prise en charge par l’assurance-maladie ne devrait pas être opérationnelle avant 2020, un remboursement anticipé, provisoire, serait possible dès mi-2018, en s’appuyant sur le dispositif de soutien à l’innovation médicale : le référentiel des actes innovants hors nomenclature (RIHN).
Oncomedics a pour sa part calculé qu’opter pour la meilleure chimio dès le départ grâce à l’Oncogramme® entraînerait une économie de l’ordre de 10.000 €.
Les patients peuvent néanmoins d’ores et déjà évoquer le sujet avec leur oncologue. Un certain nombre de consultations de cancérologie ont d’ailleurs déjà adopté le test comme au CHU de Limoges, à l’institut Bergonié à Bordeaux, aux centres hospitaliers de Nîmes, Clermont-Ferrand…
Oncomedics n’a pas l’intention de limiter son Oncogramme® au cancer du côlon. La société attend les résultats des essais cliniques effectués sur les cancers du sein et des ovaires (ce dernier pourrait aboutir dès 2018).
Elle travaille aussi sur les tumeurs au niveau des poumons et de la prostate, mais les études sont moins avancées.
Stéphanie Giraud et Christophe Lautrette
Les fondateurs d’Oncomedics sont tous deux issus de l’université de Limoges, où ils ont décroché un doctorat en biologie-santé. Après avoir hébergé leur projet initié en 2006 dans un incubateur local public, ils ont installé leur entreprise en 2010 à Ester technopole, sous la coupole. Christophe Lautrette en est le PDG et Stéphanie Giraud, la directrice R & D (recherche et développement). Aujourd’hui, la société compte huit collaborateurs.
Source Hélène Pommier Le Populaire Entreprendre http://www.lepopulaire.fr
Après quelques mois de travaux durant lesquels des entreprises mécènes, des associations partenaires et des bénévoles se sont mobilisés, le nouveau jardin Marly de l’Institut Bergonié a été inauguré le 15 juin dernier.
Cette inauguration s’est déroulée en la présence du Professeur François-Xavier MAHON, Directeur Général de l’Institut Bergonié et de Madame Chantal FAVRE, Présidente de l’association Pierre Favre.
« Nous avons souhaité offrir aux patients de Bergonié et leur famille un lieu de détente, une oasis au milieu de l’hôpital, un peu de douceur dans un monde à la réalité brute et pour cela créer ce jardin » déclare Chantal FAVRE.
« Pour moi, il est important de faire de Bergonié non pas un lieu de difficulté et de souffrance mais un lieu d’espoir et de guérison … et bien évidemment je remercie l’association » réaffirme le Professeur François-Xavier MAHON.
L’association Pierre Favre a été à l’initiative de ce projet, en réalisant la conception et la coordination.
Voir les articles sur ce blog REMANIEMENT DES JARDINS DE L’INSTITUT – L’INSTITUT BERGONIÉ FAIT PEAU NEUVE POUR MIEUX ACCUEILLIR SES PATIENTS – POSE DE LA 1ÈRE PIERRE DU NOUVEAU PÔLE CHIRURGICAL ET INTERVENTIONNEL JOSY REIFFERS DE L’INSTITUT BERGONIÉ
Deux associations se sont jointes à nous pour apporter leur concours financier, le Groupe 3V et l’association Les Blouses Roses.
Nous les en remercions.
Ouverte à tous, cette inauguration a été un moment chaleureux et un moment d’échange entre le corps hospitalier de l’institut, les patients et les associations.
Dans les prochains jours, des fauteuils colorés et une bibliothèque urbaine vont venir compléter l’agencement du jardin.
Nous remercions sincèrement et chaleureusement les entreprises mécènes:
C’est au service d’urologie de la clinique Saint-Augustin que les premières techniques innovantes prostatéctomie ont été appliquées. Aujourd’hui c’est le robot qui tient le scalpel et ça n’a plus rien d’exceptionnel, c’est même devenu une pratique quotidienne. Près de 800 interventions sont réalisées chaque année à la clinique Saint-Augustin et des médecins du monde entier y viennent même pour se perfectionner.
Du côté de Bergonié c’est la même excellence mais dans le domaine de l’imagerie cette fois. Grâce à la tomographie, les tumeurs sont traitées au plus près. C’est à dire que l’on réussit à isoler au mieux la zone à traiter en évitant celles à risques comme la vessie ou le rectum.
Pour l’institut Bergonié et dès 2015, l’Association Pierre Favre a participé directement à cette avancée en finançant l’achat de grains d’or, indispensables pour parfaitement ciblé la tumeur.
Lire l’article sur les grains d’or sur notre blog ici.
Visionner le reportage France 3
Lire la suite de l’article ici.