Le jeudi 14 décembre dernier, le club Soroptimist Bordeaux a remis plus de 20 coussins-cœur à l’association Pierre Favre.
Ces coussins sont destinés aux patientes de l’Institut Bergonié atteintes d’un cancer du sein.
Le premier club Soroptimist International (SI) a été créé en 1921, dans la ville d’Oakland en Californie. Les 80 femmes, toutes engagées dans la vie professionnelle, qui entouraient Violet Richardson, première Présidente du SI, se réunissaient chaque semaine pour débattre de projets de service, autour de conférences sur diverses questions touchant le monde entier afin d’élargir les horizons des membres.
Les valeurs et objectifs de ce club sont :
Maintenir un haut niveau de moralité dans les affaires, la profession et la vie en générale
Promouvoir les Droits humains et en particulier favoriser la promotion de la Femme
Développer le sens de l’amitié et le sentiment d’unité entre Soroptimist de tous pays
Maintenir vivant l’esprit de service et la compréhension humaine
Contribuer à l’entente internationale et à l’amitié universelle
Lors de la remise des coussins, Madame Marie Laurence Berciaud, présidente du club Soroptimist de Bordeaux, a rappelé les valeurs du club et l’origine des coussins.
Après avoir lu un article dans Patchwork Gilde Deutschland, la présidente de France Patchwork, Rita découvre en feuilletant ce magazine allemand, des coussins pour apaiser les malades. C’était en 2009. « Il n’y en avait pas encore en France. C’était intéressant de réaliser cette opération », déclare Rita Kirchmann. La particularité des coussins repose sur son allure : un cœur en tissu.
forme très étudiée du coussin-cœur
« Ce n’est pas un simple cœur. Il est un peu plus creusé au centre. » Grâce à sa forme étudiée, la malade le dispose sous son aisselle afin d’éviter toute pression. Il soutient l’épaule.
de gauche à droite, Gérald Carmona, Chantal Favre, Marie Laurence Berciaud
Chantal Favre a mis en avant le travail des « petites mains » qui ont travaillé pour la réalisation de ces coussins et à la fidélité du Club Soroptimist de Bordeaux aux côtés de l’association Pierre Favre.
Les coussins seront remis avant les fêtes de Noël et permettront sans nul doute d’améliorer le confort et de « donner le sourire aux malades », devis de l’association.
Pour sa part, Gérald Carmona, directeur de la communication dons et legs à l’Institut Bergonié, a rappelé l’importance des toutes les actions visant à améliorer le confort et le moral des patientes.
Monsieur Carmona a chaleureusement remercié l’engagement constant du Club Soroptimist de Bordeaux et de l’association Pierre Favre pour une meilleure condition de la femme et des patientes.
Photo du groupe d’adhérentes du club Soroptimist Bordeaux présentes le 14 décembre dernier
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L’analyseur Rarecells, mécanisme d’analyse sanguine qui détecte précocement les cellules cancéreuses circulant dans le sang, a été inauguré en juin 2107 à Bordeaux.
Il a été mis au point après quinze ans de travaux par Patrizia Paterlini-Bréchot, oncologue, professeur de biologie cellulaire, à Paris, et directrice d’une équipe de recherche.
La méthode ISET permet de prédire très en amont le risque de transformation métastatique et donne la possibilité aux médecins de faire un diagnostic avant même que la métastase soit détectée par imagerie.
Dans le laboratoire de biologie médicale de Bergonié, devant le Rarecells, le professeur Patrizia Paterlini-Bréchot, entourée des docteurs Françoise Durrieu, directrice du labo, Antoine Italiano et Julie Blanchi, avec Dominique Rousseau. PHOTO THIERRY DAVID/«SO
« C’est un hybride entre la photocopieuse et la machine à café ! » explique Patrizia Paterlini-Bréchot. « Pour faire simple, la machine filtre le sang jusqu’à retenir en surface les cellules tumorales, que l’on pourra ensuite analyser. »
« Je suis très heureux que l’Institut se dote de cet outil novateur, remarque le professeur François-Xavier Mahon, directeur de Bergonié, parce que je suis hématologue et l’idée d’utiliser le sang pour attraper la tumeur me séduit.
Résumé écrit par patrick Watrin, chargé de communication pour l’Association Pierre Favre, d’après l’article Sud-Ouest écrit par Isabelle Castéra.
Après dix ans de recherche, l’Oncogramme® est enfin disponible. Mis au pont par la start-up Oncomedics, à Limoges, ce test permet d’individualiser le traitement du patient atteint d’un cancer colorectal métastatique (stade IV).
C’est un travail de longue haleine qui porte enfin ses fruits. Après dix ans de recherche et développement, la société Oncomedics, créée à Limoges en 2006, commercialise son test destiné à personnaliser la chimiothérapie dans le cadre du cancer colorectal à un stade avancé.
Baptisé « Oncogramme® », ce dispositif médical permet d’améliorer le traitement en testant, en dehors du corps, la réponse de la tumeur du patient à plusieurs molécules, afin de lui administrer celle qui sera la plus efficace.
Quel est l’intérêt du test ?
« Actuellement, on fonctionne selon la thérapie du consensus, c’est-à-dire qu’on administre le médicament qui a fonctionné pour le plus grand nombre de malades, explique Christophe Lautrette, PDG d’Oncomedics. Or pour le cancer colorectal métastatique, ce traitement de première intention marchera pour seulement 46 % des personnes. Avec le test que nous avons mis au point, le produit de chimiothérapie ainsi sélectionné aurait un effet dans 84 % des cas. »
Un procédé qui, en plus d’offrir un gain de chance supplémentaire face au cancer, évite aussi des effets secondaires inutiles qui affaiblissent l’organisme.
Comment l’Oncogramme® fonctionne-t-il ?
« Après la chirurgie réalisée à l’hôpital, on récupère un prélèvement de la tumeur et on la cultive dans notre laboratoire pour la maintenir vivante, poursuit Christophe Lautrette. On teste ensuite in vitro différents médicaments, seuls ou combinés, sur l’échantillon et on évalue lequel tue le plus de cellules cancéreuses. »
Il faut environ quinze jours entre l’opération et le rendu du résultat à l’équipe soignante, qui pourra dès lors choisir la chimio la plus adaptée.
Combien coûte-t-il ?
Ce dispositif, relevant de la médecine dite « de précision », est donc désormais lancé sur le marché. Mais d’un montant de 2.000 €, il n’est pas encore remboursé. Un frein à son utilisation qu’Oncomedics espère lever rapidement. « Les démarches sont en cours, mais les procédures sont longues car des données médico-économiques doivent nécessairement être collectées », précise Christophe Lautrette.
Si la prise en charge par l’assurance-maladie ne devrait pas être opérationnelle avant 2020, un remboursement anticipé, provisoire, serait possible dès mi-2018, en s’appuyant sur le dispositif de soutien à l’innovation médicale : le référentiel des actes innovants hors nomenclature (RIHN).
Oncomedics a pour sa part calculé qu’opter pour la meilleure chimio dès le départ grâce à l’Oncogramme® entraînerait une économie de l’ordre de 10.000 €.
Les patients peuvent néanmoins d’ores et déjà évoquer le sujet avec leur oncologue. Un certain nombre de consultations de cancérologie ont d’ailleurs déjà adopté le test comme au CHU de Limoges, à l’institut Bergonié à Bordeaux, aux centres hospitaliers de Nîmes, Clermont-Ferrand…
D’autres types de cancers à l’étude ?
Oncomedics n’a pas l’intention de limiter son Oncogramme® au cancer du côlon. La société attend les résultats des essais cliniques effectués sur les cancers du sein et des ovaires (ce dernier pourrait aboutir dès 2018).
Elle travaille aussi sur les tumeurs au niveau des poumons et de la prostate, mais les études sont moins avancées.
Stéphanie Giraud et Christophe Lautrette
Les fondateurs d’Oncomedics sont tous deux issus de l’université de Limoges, où ils ont décroché un doctorat en biologie-santé. Après avoir hébergé leur projet initié en 2006 dans un incubateur local public, ils ont installé leur entreprise en 2010 à Ester technopole, sous la coupole. Christophe Lautrette en est le PDG et Stéphanie Giraud, la directrice R & D (recherche et développement). Aujourd’hui, la société compte huit collaborateurs.
Source Hélène Pommier Le Populaire Entreprendre http://www.lepopulaire.fr
Octobre rose : Journée de sensibilisation au cancer du sein
Octobre est devenu, à travers le monde, le mois de mobilisation pour la lutte contre le cancer du sein.
Cette année encore, Bordeaux et un grand nombre d’associations, dont l’association Pierre Favre contribuent fortement à cette sensibilisation.
L’objectif est de sensibiliser les femmes et leur entourage, grâce à de nombreuses actions organisées tout le mois. Cette action s’est étendue au niveau national et international.
Véritable fléau de notre société puisque le cancer du sein touche 1 femme sur 8 (1ère cause de mortalité des femmes en France).
Lieu : Bordeaux, Place Pey-Berland
Dates : Du mercredi 1 octobre 2014 au vendredi 31 octobre 2014
Le Rotary Club de Saint-Médard en Jalles, en partenariat avec l’agence événementielle « Le Paradis C’est Ici », organise sur les quais de Bordeaux une course de trottinettes dont les bénéfices seront reversés à une association oeuvrant pour la recherche contre le cancer pédiatrique.
Le Bordeaux Trottinettes Trophy, c’est :
Une course de trottinette
Destiné aux enfants de CE2, CM1 et CM2 (entre 8 et 10 ans)
Comme chaque année, nous avons organisé un rallye pédestre dans les rues de Bordeaux.
Cette année le rendez-vous a été donné à l’orangerie, au sein du Jardin Public, pour une promenade de 2 heures ponctuée de questions et énigmes qui vous feront découvrir des secrets cachés de notre belle ville.
La matinée s’est terminée par un déjeuner très convivial au restaurant « La Bodega », dont l’agencement vient tout juste d’être refait.
Le CA d’aquitaine a développé auprès de ses sociétaires, la possibilité pour chacun pourvu qu’il soit sociétaire du CA, de participer au développement d’une association de son choix, dans la liste de toutes les associations sportives, culturelles, caritatives, etc.. ayant reçu un agrément du Crédit Agricole.
Cette démarche, tout à fait dans la ligne d’action du Crédit Agricole, banque engagée et solidaire, permet de distribuer de l’argent aux associations.
Concrètement : à chaque utilisation de sa carte bancaire, le sociétaire génère des TOOCKETS, sorte de points qui se cumulent sur un compte.
Ensuite, il peut décider de l’utilisation de cette cagnotte en la distribuant à 1 ou plusieurs associations proposées.
En vidéo c’est encore mieux.
L’Association Pierre Favre est bien sur habilitée à recevoir ces tookets.
Merci à tous les sociétaires du Crédit Agricole d’aller sur internet, de demander : tookets, de suivre le déroulé pour s’inscrire et surtout de mettre l’Association dans leurs FAVORIS.